Localisation : Gennevilliers - 92230 / Maître d'Ouvrage : Association Diocésaine du 92 / Type : 6 Logements Collectifs
Mission : Complète / Surface : 244m² SHAB
/ Coût : 1.2 M€
Livraison : 2024 / Equipe : Homework - MCH BET
LE PRESBYTÈRE
Implanté au cœur de la commune de
Gennevilliers, ce collectif de 6 logements en R+2 adopte un langage
contemporain dans un contexte pavillonnaire en mutation.
Le projet vient se glisser le long de l’hôtel Ibis et fait face à l’Église des Agnettes et son architecture de briques.
Voulu par le Diocèse de Nanterre comme un « presbytère », celui-ci s’inscrit dans un dialogue programmatique avec l’Église.
Son aspect monolithique réinterprète la volumétrie simple et atypique de l’Église, et sa toiture en pente douce permet une transition du linéaire bâti jusqu’au gabarit de l’Église.
Ce programme retranscrit une écriture de pleins et de vides, répartissant de manière homogène la partie bâtie et les espaces libres. Le regard glisse le long de la façade et invite à pénétrer le cœur d’ilot. La sobriété de la façade sur rue laisse le bâtiment de l’église prendre toute la place qui lui revient.
La dualité des matériaux, oscillant entre l’aspect minéral de l’enduit et de la brique, et la chaleur du bois des menuiseries, vient souligner les ouvertures et les séquences bâties, permettant ainsi une lecture claire du volume bâti.
Les vides et les espaces libres font la part belle à la végétalisation, permettant une gestion optimale des eaux pluviales à la parcelle et une suppression de l’îlot de chaleur, tout en apportant une barrière végétale vis à vis des avoisinants.
Le projet vient se glisser le long de l’hôtel Ibis et fait face à l’Église des Agnettes et son architecture de briques.
Voulu par le Diocèse de Nanterre comme un « presbytère », celui-ci s’inscrit dans un dialogue programmatique avec l’Église.
Son aspect monolithique réinterprète la volumétrie simple et atypique de l’Église, et sa toiture en pente douce permet une transition du linéaire bâti jusqu’au gabarit de l’Église.
Ce programme retranscrit une écriture de pleins et de vides, répartissant de manière homogène la partie bâtie et les espaces libres. Le regard glisse le long de la façade et invite à pénétrer le cœur d’ilot. La sobriété de la façade sur rue laisse le bâtiment de l’église prendre toute la place qui lui revient.
La dualité des matériaux, oscillant entre l’aspect minéral de l’enduit et de la brique, et la chaleur du bois des menuiseries, vient souligner les ouvertures et les séquences bâties, permettant ainsi une lecture claire du volume bâti.
Les vides et les espaces libres font la part belle à la végétalisation, permettant une gestion optimale des eaux pluviales à la parcelle et une suppression de l’îlot de chaleur, tout en apportant une barrière végétale vis à vis des avoisinants.