Localisation : Colombes - 92700 / Maître d'Ouvrage : Ville de Colombes / AMO : éCo.urbain SPL / Type : Equipement Public
Mission : Complète / Surface : 583m² SU / Coût : 2.5M€
Planning : 2026/ Equipe : CARL Construction (Mandataire) - Homework Architecture - ZB Paysages
Geran’ium BET - Cadence BET - Brézillon
LE PAVILLON DE LA TRANSITION ÉCOLOGIQUE
Le
Pavillon de la Transition
écologique s’inscrit au cœur de l’éco-lieu C2Mains, au sein de la ZAC
Charles-de-Gaulle Est à Colombes. Porté par la SEM éCo.urbain, il a pour
objectif de promouvoir un équipement public pérenne, centré sur les enjeux de
transition écologique, sociale et urbaine. L’ambition est de développer un pôle
d’expérimentation et d’animation à forte valeur humaine, en accord avec les
objectifs issus des années d’urbanisme de préfiguration et de concertation
citoyenne.
Implanté au centre de l’éco-lieu, le bâtiment se déploie autour d’un vaste atrium central, pensé comme une véritable « place de village ». Cette ouverture généreuse renforce les liens entre intérieur et extérieur et encourage les interactions entre usagers.
Fruit d’une conception bioclimatique performante, le projet vise le niveau E3C2 du label E+C-, en privilégiant l’emploi de matériaux biosourcés (ossatures bois/paille, isolants naturels) et le réemploi (bardage, équipements, mobilier, etc.).
Son écriture architecturale repose sur une articulation entre esthétique et fonctionnalité. Chaque façade du bâtiment remplit un rôle spécifique, en lien avec son orientation et les usages associés. L’unité visuelle est assurée par un bardage bois décliné dans des teintes variées, qui fera l’objet d’un atelier participatif impliquant les usagers du site.
En continuité directe avec le bâtiment, le projet paysager constitue un vaste jardin démonstrateur et pédagogique, à vocation écologique et sociale. Il offre une diversité d’espaces naturels favorisant l’immersion dans le végétal, la sensibilisation aux cycles de vie, l’apprentissage et la convivialité.
Côté Rue Cugnet, la placette centrale est repensée, arborée et habillée de matériaux de réemploi.
Côté rue d’Estienne d’Orves, la grande halle devient un signal d’entrée de l’éco-lieu et un totem de l’apprentissage en plein air.
Elle est entourée d’un jardin démonstrateur composé de deux zones de phytoremédiation : l’une destinée à l’extraction des polluants du sol (phytoextraction), l’autre à leur stabilisation (phytostabilisation).
Partiellement accessibles, ces zones s’accompagnent d’un parcours pédagogique jalonné de pupitres ainsi que de jeux éducatifs et ludiques. Une mare filtrante complète ce dispositif, recevant les eaux de toiture et servant à la fois de bassin d’épuration et de support à l’observation de la biodiversité.
Implanté au centre de l’éco-lieu, le bâtiment se déploie autour d’un vaste atrium central, pensé comme une véritable « place de village ». Cette ouverture généreuse renforce les liens entre intérieur et extérieur et encourage les interactions entre usagers.
Fruit d’une conception bioclimatique performante, le projet vise le niveau E3C2 du label E+C-, en privilégiant l’emploi de matériaux biosourcés (ossatures bois/paille, isolants naturels) et le réemploi (bardage, équipements, mobilier, etc.).
Son écriture architecturale repose sur une articulation entre esthétique et fonctionnalité. Chaque façade du bâtiment remplit un rôle spécifique, en lien avec son orientation et les usages associés. L’unité visuelle est assurée par un bardage bois décliné dans des teintes variées, qui fera l’objet d’un atelier participatif impliquant les usagers du site.
En continuité directe avec le bâtiment, le projet paysager constitue un vaste jardin démonstrateur et pédagogique, à vocation écologique et sociale. Il offre une diversité d’espaces naturels favorisant l’immersion dans le végétal, la sensibilisation aux cycles de vie, l’apprentissage et la convivialité.
Côté Rue Cugnet, la placette centrale est repensée, arborée et habillée de matériaux de réemploi.
Côté rue d’Estienne d’Orves, la grande halle devient un signal d’entrée de l’éco-lieu et un totem de l’apprentissage en plein air.
Elle est entourée d’un jardin démonstrateur composé de deux zones de phytoremédiation : l’une destinée à l’extraction des polluants du sol (phytoextraction), l’autre à leur stabilisation (phytostabilisation).
Partiellement accessibles, ces zones s’accompagnent d’un parcours pédagogique jalonné de pupitres ainsi que de jeux éducatifs et ludiques. Une mare filtrante complète ce dispositif, recevant les eaux de toiture et servant à la fois de bassin d’épuration et de support à l’observation de la biodiversité.




