Localisation : Veules-les-Roses - 76980 / Maître d'Ouvrage : Privé / Type : Réhabilitation Aménagement
Mission : Complète / Surface : 150m² SDP / Coût : 150 K€
Livraison : Été 2019 / Equipe : Homework Architecture
ANAÏS
Nichée au fond d’une impasse, la Villa Anaïs Aubert ne se laisse pas facilement approcher. Cette ancienne maison de pêcheur, parmi les plus anciennes du village de Veules-les-Roses, se transforme sur le long cours depuis maintenant une quinzaine d’années.
La première partie de la maison ayant déjà été réhabilitée, Homework s’intéresse à redonner vie aux 50m2 de la seconde partie, à travers la conception d’un espace salon et d’une salle d’eau à RDC, organisés autour d’un escalier contemporain donnant accès aux combles réaménagés en espace chambre et coin rangement/grenier.
Pièce centrale de la rénovation, l’escalier a été conçu comme un bloc « objet » qui prend place au milieu du salon. La proportion et le dessin de chaque marche lui confère un rôle d’assise, de rangement ou encore d’étagère, tout en conservant une progression douce dans l’accès à l’étage. Les marches métalliques encastrées dans le mur de la salle d’eau se détachent du bloc donnant de la légèreté à l’ensemble. Un recouvrement en bois redonne de l’unité et souligne les lignes franches de l’escalier.
La chambre sous les combles révèle un mur en silex typique de la région lui donnant une identité propre.
Un travail autour de la lucarne existante permet à cette pièce d’être baignée de lumière, tout en soulignant la charpente existante.
La première partie de la maison ayant déjà été réhabilitée, Homework s’intéresse à redonner vie aux 50m2 de la seconde partie, à travers la conception d’un espace salon et d’une salle d’eau à RDC, organisés autour d’un escalier contemporain donnant accès aux combles réaménagés en espace chambre et coin rangement/grenier.
Pièce centrale de la rénovation, l’escalier a été conçu comme un bloc « objet » qui prend place au milieu du salon. La proportion et le dessin de chaque marche lui confère un rôle d’assise, de rangement ou encore d’étagère, tout en conservant une progression douce dans l’accès à l’étage. Les marches métalliques encastrées dans le mur de la salle d’eau se détachent du bloc donnant de la légèreté à l’ensemble. Un recouvrement en bois redonne de l’unité et souligne les lignes franches de l’escalier.
La chambre sous les combles révèle un mur en silex typique de la région lui donnant une identité propre.
Un travail autour de la lucarne existante permet à cette pièce d’être baignée de lumière, tout en soulignant la charpente existante.